HIPPODROME DE COMPIÈGNE
COURSES HIPPIQUES
Le 2 mars
Le Mercredi 4 Plat
Le Dimanche 8 Plat
Le Mercredi 11 Obstacle
Le Lundi 16 Plat
Le Jeudi 26 Obstacle
Le Mardi 31 Obstacle
Le 2 mars
Le Mercredi 4 Plat
Le Dimanche 8 Plat
Le Mercredi 11 Obstacle
Le Lundi 16 Plat
Le Jeudi 26 Obstacle
Le Mardi 31 Obstacle
L’exposition Concept-car. Beauté pure, organisée conjointement par le Château de Compiègne et la Réunion des musées nationaux-Grand Palais. Le premier musée au monde dédié à la locomotion, qui fut inauguré à Compiègne en 1927. Le musé va devenir le porte drapeau du patrimoine automobile du 20eme siècle.
Vente éphémère à l’Office de Tourisme
Le 16 mai 2020 RDV à l’office de tourisme de Compiègne.
Soutenons l’artisanat local et la proximité ! La créatrice de L’Atelier de Sylvie, vous invite à découvrir ses créations (broderie main et vêtements de poupons tricotés), lors d’une vente éphémère à Compiègne !
En raison de la situation de confinement, les activités artistiques et culturelles sont reportés à des dates ultérieurs. Notre Hôtel reste ouvert et la mise en oeuvre de protocole adapté à la situation est en place afin de vous accueillir dans les meilleurs dispositions.
Pour plus de renseignement, contact nous 03 44 23 01 50.
Le 7 Mars
Celtic Legends est un groupe de musique traditionnelle irlandaise, né dans les plaines du Connemara.
Le 8 Mars
Le tout nouveau one-woman show d’Anne Roumanoff « Tout va bien ! »
Le 14 Mars
Frédéric François reste un des plus célèbres chanteurs de variétés en Belgique et en France. Ses ventes de disques avoisinent les 35 millions d’exemplaires. Frédéric François sera de retour sur scène pour le plus grand plaisir de ses fans!
Le 20 Mars
Chantal Ladesou est une aventure à elle toute seule,
Sa voix rauque, son geste innée, son esprit baroque et le ton de ses propos ont su séduire un large public.
Chantal c’est un style particulier, authentique, qui manie avec brio l’autodérision.
Réserver dans notre hôtel à partir du 29 février.
L’exposition*présente une approche à la fois simple, graphique et générale de la culture japonaise. Cet événement se déploie également autour du spectacle Le Kakushidanuki, le blaireau caché, qui sera joué par la Compagnie des Lucioles, ainsi qu’un atelier Origami et un atelier Kamishibaï animés par l’association de jumelage Compiègne/Shirakawa et un atelier Ikebana proposé par Barbara Porcellini, maître en Ikebana.
Le Kamishibaï est un genre narratif japonais, sorte de théâtre ambulant où des artistes racontent des histoires en faisant défiler des illustrations devant les spectateurs.
Vous avez probablement entendu parler de la révolution qui est à l’origine de l’univers Kamishibaï et, si vous avez eu la chance de le voir en action, sans doute vous avez été captivés par son pouvoir d’attraction perçant et sa manière unique de raconter des histoires.
Qu’est-ce que « Kamishibaï » ?
Kamishibaï est un acte révolutionnaire. Littéralement, Kamishibaï signifie « art dramatique sur papier » et c’est une façon de raconter en public des histoires qui a ses origines dans les temples bouddhistes du Japon dès le XIIème siècle. Les moines utilisaient des parchemins combinant des images et des textes pour raconter des histoires à un public souvent dans sa majorité analphabète. Au début des années 1920, le Kamishibaï est devenu une façon traditionnelle de raconter des histoires à travers le Gaito Kamishibaiya.
En échange, une fois ayant fini de raconter les histoires, le Gaito vendait des friandises aux plus petits pour gagner ainsi sa vie. À son arrivée aux villages, le Gaito faisait sonner un instrument appelé Hyoshigi pour attirer l’attention des jeunes assoiffés d’histoires. Animation tout public, entrée libre. Barbara Porcellini, maître en Ikebana, vous invite à découvrir cet art traditionnel japonais, dont le nom Ikebana signifie « La voie des fleurs » ou « L’art de faire vivre les fleurs », lors d’un atelier aux Minimes.
Au 18e siècle, le nom « Ikebana » est officiellement employé pour définir cet art floral si spécial, mais l’époque n’est pas la plus créative en la matière, car intuition et spontanéité sont bannies au profit d’une codification encore plus complexe destinée à satisfaire les exigences d’aristocrates oisifs. Heureusement le siècle suivant voit la pratique se démocratiser, les femmes ont même accès aux enseignements.